Steamboat, malgré le nom, c'est un avion. Un très vieil avion, voire même un coucou antédiluvien, qui n'a pas volé depuis un bout de temps, mais que des circonstances très particulières vont obliger à reprendre le ciel un soir de Noël, en pleine tempête avec son bord une petite fille brûlée qui doit atteindre l'hôpital le plus vite possible.
Et comme seul pilote, l'ancien mentor de Walt, le très caractériel, et un peu porté sur la bouteille, Lucian Connally....Le ciel est chargé, le chauffage a des vapeurs et tout le monde est persuadé que c'est une mission suicide.
Que dire d'autre, à part que ce prémisse tient toutes ses promesses et que je ne lui reprocherai qu'une chose: on évoque à peine le fantastique Henry, le meilleur des personnages de la série. Le mélange de cynisme et de volonté farouche de Walt, l'écriture de Craig Johnson, d'une excellente qualité qui déjoue tous les préjugés sur les auteurs de polars et de westerns...C'est haletant, une ode à la folie et au courage avec juste ce qu'il faut d'humour et de terreur !
Ne commencez pas par celui-là, rien ne vaut le fait d'être déjà attaché à Walt et à son univers pour en tirer tout le sel, mais quand vous aurez découvert un peu la série, n'hésitez pas!
Ma note: *****
3 commentaires:
Merci pour ta participation Tara ^_^
Et oui, j'ai bien noté qu'il faut que je lise la série !!!
Et oui, je ne suis pas morte^^ Je n'en reviens pas d'avoir laissé filer autant de sessions, surtout qu'il y avait des ouvrages fort alléchants, je vais tenter de faire mieux cette année !
Merci pour cette critique, c'est toujours un plaisir que tu participes à notre petit blog ^_^
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